Ma rencontre avec l'acupuncture

Après avoir obtenu mon diplôme de l’Université d’agriculture de Tokyo, j’ai travaillé pendant cinq ans dans une institution financière affiliée à l’État. J’étais chargé de m’occuper de l’octroi de prêts aux agriculteurs, sylviculteurs et pêcheurs japonais. Nous avions pour objectif d’accroître l’autosuffisance alimentaire du Japon en accordant des prêts aux producteurs agricoles nationaux.

À la suite d'une grosse période de stress et de fatigue dans mon travail, j’ai développé un problème au niveau des yeux que la médecine traditionnelle occidentale n’a pas su guérir. Malgré l’aspect irréversible de cette maladie rare, ma condition physique et psychologique s’est nettement améliorée grâce à l’acupuncture.

Mon cabinet d'acupuncture au Japon

Cette expérience m’a ouvert de nouveaux horizons et j’ai décidé de devenir acupuncteur . À cette fin, j’ai suivi une formation dans une école spécialisée. J’y ai appris diverses techniques et étudié la médecine fondamentale. Au bout de 3 ans de formation, j’ai obtenu mon diplôme de masseur et celui d’acupuncteur, tous deux reconnus par l’État japonais.

Ces deux diplômes me permettent de pratiquer officiellement l`acupuncture, au Japon.

En 2019, j’ai ouvert mon propre cabinet « Shinkyu Taka » qui a très vite prospéré. J’ai désormais entre 500 et 600 séances réservées par mois, ce qui fait qu’au total, j’ai une expérience de plus de 20000 séances.

Mon idée de base fondée sur ma pratique et mon expérience est la suivante : en corrigeant la respiration et le flux sanguin, on peut améliorer l’état général physique et psychologique du patient de façon naturelle.

Grâce à cette méthode, j’aide de nombreux patients qui souffrent quotidiennement de gênes que la médecine traditionnelle est dans l’incapacité de définir et d’appréhender.

J’emploie désormais deux praticiens que j’ai formés personnellement à mes techniques.

L'obtention de mon visa travail et l'ouverture de mon cabinet en France.

En octobre 2024, j'ai obtenu mon visa de travail pour la France, que j'espérais depuis longtemps.

Et j'ai déménagé à Nice pour ouvrir mon cabinet. Mes employés continuent de s'occuper de mon cabinet au Japon en mon absence.

En 2022, j’ai écrit mon premier livre qui traite de l`angoisse et il a été publié par une grande maison d’édition spécialisée dans le domaine de la santé.Il a été vendu à plus de 10000 exemplaires et la troisième édition est sortie en 2024.

En 2024, j’ai publié mon deuxième livre qui traite de vertige et de la migraine. Il a été vendu à plus de 13,000 exemplaires et la cinquième édition est sortie.

Un article me concernant est également paru dans le journal du parti politique Komeito qui fait de la santé son cheval de bataille.

En outre, je possède aussi ma propre chaine YouTube où je poste chaque semaine des vidéos dédiées à la santé. Ma chaîne compte à présent plus de 10000 abonnés.

Ma rencontre avec Nice

Lors de mon premier voyage à Nice, pendant l’été 2016, je suis littéralement tombé sous le charme de la nature luxuriante du sud de la France, de sa délicieuse cuisine régionale et de son architecture magnifique.

En communiquant avec les Provençaux, j’ai été frappé par l’esprit de liberté, d'égalité et de fraternité qui les animait et cela m’a touché au plus profond de moi. J’ai également découvert que beaucoup de Français s’intéressaient à la culture japonaise et je me suis promis que je deviendrais, un jour, un relais de cette culture japonaise tant appréciée en France.

Mon retour à Nice pour apprendre le français.

C’est pour cette raison que j’ai commencé à apprendre le français au Japon puis que je suis parti en France pour l’étudier pendant 8 mois. Grâce à mon séjour et à mes efforts, mon niveau de français s’est grandement amélioré et je suis fier d’avoir réussi l’examen du DELF niveau B2.

Parallèlement, j’ai noué avec un grand nombre de Niçois et de Japonais vivant à Nice des relations profondes et précieuses qui ont perduré même après mon retour au Japon.

C’est ce qui m’a donné l’envie de m’installer à Nice.

J’aimerais, à mon tour, faire découvrir aux Français, dans la ville de mes rêves, l`acupuncture, une discipline typiquement japonaise qui a pour objectif le bien-être des patients et qui, à titre personnel, a largement soulagé mes souffrances psychologiques et physiques.

L'ouverture de mon cabinet d'acupuncture au Japon

et mon expérience. 

Après être rentré au Japon, à la fin de mon séjour linguistique en France, j’ai ouvert mon cabinet d`acupuncture.

En 2020, l’épidémie de COVID 19 a déferlé sur le monde. Durant cette période pleine de doutes et d’incertitudes, un nombre croissant de personnes ont développé des symptômes d’angoisse et se sont retrouvées submergées par des émotions négatives.

La médecine occidentale traditionnelle a eu bien du mal à définir et par conséquent à traiter ce mal-être. Par exemple, de nombreux patients souffraient de troubles du sommeil ou perdaient leur appétit mais il n’existait pas réellement de maladie en tant que telle, comme la médecine occidentale peut l’entendre.

Dans ce cas, les techniques de bien-être telles que l’acupuncture peuvent se révéler une alternative satisfaisante voire salvatrice. Elles ont fait leurs preuves en soulageant un grand nombre de Japonais.

Pour ma part, j’ai donné plus de 20000 séances dans mon cabinet depuis son ouverture il y a 5 ans. Je n’ai donc pas peur d’affirmer que j’ai acquis une grande et solide expérience dans mon domaine.

Pourquoi un cabinet en France ?

On entend souvent dire que la France est un des pays européens où l’on prescrit le plus de tranquillisants et d’anti-dépresseurs.

Diverses études montrent que les récentes sources d’instabilité dans le monde (la pandémie de COVID 19, la guerre en Ukraine, les conflits au Moyen-Orient, le réchauffement climatique…) ont un impact très négatif sur la santé mentale et le bien-être des gens.

Beaucoup de personnes impactées peuvent développer des maux d’estomac à cause du stress quotidien ou bien perdre l’appétit ou le sommeil à cause de l’anxiété ambiante et des émotions négatives.

Ces personnes-là se retrouvent souvent dans une impasse par l’absence de diagnostic médical et dans le pire des cas, les symptômes augmentent et peuvent déboucher sur des maladies graves telles que la dépression.

Je suis convaincu que les techniques japonaises de bien-être peuvent soulager cette catégorie de personnes et j’aimerais mettre mes techniques et mon expérience au service des Français.

En conclusion, je dirais que permettre aux habitants de mon pays préféré de retrouver un équilibre grâce aux techniques de bien-être se révèle être ma principale source de motivation.